Recontre pour deux ames presques semblables...(PV)

Une Belle matinée de printemps ou un mirage magnifique dans un monde sombre? Chaque chose a deux côtés, il suffit de choisir celui où l’on veut vivre. Quelque soit le choix, la doctrine ou encore le Nindo qui guide nos pas, il y aura toujours des sacrifices, des bons moments et des larmes de diamant, qui uniques rouleront sur la joue, pour venir mourir au coin des lèvres pour tomber, pour venir s’écraser sur l’herbe. Akari, avait beau un jour cessé d’être naïf, cela ne l’empêchait pas d’aimer la nature, ce fougueux amas de chlorophylle , de pétales et de couleurs toutes plus magnifiques les unes que les autres. De temps a autre, comme si la beauté ne méritait pas de vivre en permanence celle ci fanait, pour renaître encore plus merveilleuse qu’avant émerveillant les yeux, dilatant les narines, pour le plus grand plaisir de tous. Il avançait, lentement comme si le fait d’avancer au ralentit faisait augmenter le temps passé dans cet endroit magnifique. Une clairière sauvage, vierge ou la nature avait encore le choix de pousser comme elle voulait, et sans aucune contrainte. De ses yeux, redevenus enfants, il semblait s’émerveillé un petit peu plus a chaque fleur, a chaque nouvelle odeur, a chaque changement. De ses mains pleines de sang, il ne restait rien, si ce n’est une envie de cueillir toutes ces fleurs, pour les garder en permanence sur lui, cependant, tuer un homme ne le gênait pas, raccourcir la durée de vie d’une fleur le gênait amplement plus. Un lever de soleil, une aurore aux couleurs magiques ravivait le cœur, suspendait le temps dans une cadence proche du divin, Transformant le lac, qui jonchait au milieu de cette clairière, en une explosion de variantes entre l’or, l’ocre le rouge et l’orangé. Au moins, les dieux avaient fait quelque chose de bien, en créant ce monde. Une larme unique, presque de joie, une larme causée par une beauté infinie, vint naître aux coins des yeux d’Akari, vint vivre sa vie sur les joues de ce dernier, reflétant alors, les couleurs magnifique d’une aurore sublime. elle continua et vint mourir au coin de ses lèvres pour ensuite aller finir sa course dans l’herbe…
Ses cheveux qui semblaient particulièrement inspiré en cette belle matinée, vinrent, devant ses beaux yeux, dansé un tango endiablé que rien ne saurait arrêter, se contentant des belles pommettes roses d’ Akari comme piste de danse, comme quoi Mauvais ouvrier mauvais outils…

Dans un environnement aussi propice aux réflexions il se remit a penser. Son existence, si c’était une existence, «était morte il y a quelques années, le monde avait alors pris une autre couleur…Les meilleurs plats, les plus savoureux prenaient le goût de sang. L’herbe n’était plus verte mais rouge sang, le ciel semblait en permanence noir. Le soleil était devenu terne, et c’était au fil d’une mélancolie croissante qu’Akari vivait au jour le jour, sans se préoccuper de ce qui l’attendait le lendemain, il avait même perdu espoir que quelqu’un puisse un jour le tuer, il devrait donc attendre, comme un vieux de mourir entres ses draps tièdes…
Il n’était plus qu’un caillou, un caillou qui avait creusé au fond de l’océan une grotte .Il s’y était endormi. A son réveil le monde avait changé, mais qu’est il vraiment, La grotte ? Le caillou ? ou L’océan ? Il se sent comme un rocher, une pierre, un minuscule caillou en marge de la race humaine, il ne s’est jamais senti humain car il ne l’a jamais été, il se convainc lui même de se mensonge jour après jour, et a chaque fois, une envie de tuer s’empare de lui…Revoir le monde après une vengeance pour le moins raté avait pour effet de le sortir de sa torpeur. Comme si il s’était enfermé, quelqu’un avait commencé a murmurer a travers la porte, puis on a finit par frapper doucement. Puis la porte a volé en éclat et les lueurs, les premières du jour sont venus lui ouvrir les paupières et le forcer a reprendre un train en marche dont il s’était volontairement extrait d’un petit saut qui lui avait coûté bien plus que quelques contusions…Et dans cet endroit merveilleux il n’a qu’une seule envie, creuser deux petits trous pour y glisser ses pieds, s’enraciner jusqu’au plus profond de la terre pour qu’on ne le dérange plus jamais. Il ne veut que fermer les yeux, et espérer se remettre a rêver…Dans cette douceur, digne du tableau de Botticelli, un joli compliment printanier, il ne peux que répondre d’une bonne humeur, c’est au moins ça de gagner, plus qu’une lueur d’espoir et tout ne serait pas perdu, cependant pour Akari l’espoir n’était qu’une petite mèche qui brillait sans arrêt, mais un Tsunami est venu déferler sur cette mèche qui n’a pas résistée longtemps a la furie de la vie, il s’est retrouvé démuni, presque nu et surtout comme un con, a croire que cela n’arrive qu’aux autres, qu’on est intouchable, et immortel…
Un homme, sûrement aussi intelligent qu’une moule, assise sur son rocher, qui a chaque marrée, ouvre et referme sa coquille, une moule qui sur une envie a brisé la vie d’en enfant de 12ans. Une moule stupide qui croyait améliorer sa vie avec de l’argent !?Il est certes facile de dire, l’argent ne fait pas le bonheur mais il est beaucoup plus difficile de dire je suis heureux que je suis malheureux. Cette moule qui avait crut intelligent de descendre de son rocher pour venir écraser le petit caillou du fond de la mer, n’a même pas oser revenir plus tard…Comme si elle regrettait ses actes, regretter ce n’est qu’être un faible, un faible qui ne possède pas le neurone supplémentaire, comme si il était en option, et qu’on avait prit le plus vieux modèle, celui ou il n’était pas installé, ce neurone qui permettait de réfléchir avant de faire un acte dont les conséquences pourraient nous submerger, nous noyer, mais cette fois ci, j’écrirais presque malheureusement , Akari après avoir commencer a se noyer, avait toucher le fond et il restait, comme un plongeur aguerri au fond de l’eau, comme si des branchies lui avaient poussé, sur le dos, le mettant a l’abris d’éventuels raz de marée. On pourrait dire que l’espoir naît des solutions impossible. Après tout le sable le plus fin n’est il pas le fruit du roc le plus dur ? Mais quand on refuse d’ouvrir les yeux pour accueillir cette lumière a paupières mi close, il est alors difficile de tourner la page, de se remettre a sourire en lançant des « Bah c’est pas grave ! »
Il soupire, et son soupire semble plus lourd que son malheur, Attendant avec impatience celui qui viendra le délivrer de sa torpeur…

Recontre pour deux ames presques semblables...(PV) 913240240smallia6

bon ba vu quy'a plus kaze a toi taz!

quelqu'un se fait chier? ba il a qu'a répondre Razz