Tazuki
Vagabond
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Age : 31
Date d'inscription : 28/08/2007
Feuille de personnage
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 |  Sujet: Taz zizin'zeuh place ! (Présentation de Tazuki)  Jeu 26 Juin - 18:54 | |
| Nom : none Prénom : Tazuki Age : 14 ans Sexe : grand gars Physique :Plutôt grand, Tazuki n'en est pas moins fluet. Il pèse 65 kilo pour 1 mètre 75. Son poids est surtout concentré dans son très solide squelette et dans sa musculature plutôt développé, ceci durant ses divers escapades et vagabondages, et malgré son jeune âge. Il a un visage bien déssiné : la mâchoire un brin plus large que la normal, de petites oreilles, des yeux marrons, comme celui de le terre, un marron intense, un nez plutôt cours et un petit peu large, et des cheveux, qui peuvent varier du très court au mi-long selon les envie de Tazuki, mais aussi de ce qu'il a sous la main pour se les couper, ou pas. Il est le plus souvent vêtu d'un pantalon noir large et épais en laine et d'un maillot de la bonne taille, noir lui aussi et des chaussures larges dont les lacés ne sont pas du tout serrés ni attachés. Cet habillement lui permet de rester discret, de nepas attirer l'oeil indiscret, c'est tout ce qu'il veut. Les seul particularités de son apparence sont une guitare qu'il trimbale en bandoulière dans son dos, un quéfié noir et blanc inlassablement enroulé autour de son cou, et son sabre, accroché à sa ceinture.
Tazuki est donc quelqu'un de plutôt banal d'apparence.Mental :Tazuki est quelqu'un de plutôt calme, il ne s'énerve jamais vraiment. Ne soyons pas faussement modeste, il est aussi intelligent. Et pas seulement l'intelligence logique ou celle de réflexion. Souvent, les adultes sont impressionné par ce que Tazuki appelle l'intelligence d'esprit, qui consiste, en d'autre terme, à la sagesse, peut-être. En effet, malgré son jeune âge, Tazuki se plait à penser, à réfléchir sur le monde, sur les gens, sur tout ce qui constitue son environnement. Parfois, il se perd dans ses songes, et revient à lui dans des situations étonnantes. Il peut donc être qualifié de rêveur sans tort. Un autre trait de sa personnalité est sa courtoisie. Il se plait à faire le gentleman auprès de ces demoiselles, mais sait aussi être très poli avec toute personne qu'il appréciera. Il ne parle jamais sans réfléchir, il sais donc très bien manipuler les gens, et très bon comédien, il peut donc aussi les escroquer. Pour combler le tout, son phrasé est plus qu'excellent, et son vocabulaire est d'une incroyable richesse pour son âge. C'est là un des nombreux talent que lui a légué celui qui l'a suivi pendant plus d'une dizaine d'année de sa vie. Il est très souvent complètement à l'ouest, n'écoute pas toujours ce qu'on lui dit, sauf les paroles du vieux sage, qu'il retient le plus naturellement et facilement du monde, il n'a aucun sens de l'orientation, et ne retiens que ce qui est important pour lui, il n'a pas vraiment un bonne mémoire.
Il aime dormir, manger et boire, essentiellement de l'eau et du pain, c'est ce qu'il préfère, il aime aussi vagabonder, rêver, penser, la nature, la vie aussi et surtout. Il n'aime pas que l'on l'attende, il n'aime pas non plus perdre, ou que quelqu'un fasse mieux que lui sur quelconque sujet que ce soit, et il déteste au plus au points avoir tort.
Voilà quelle genre de personne est Tazuki, une personne hors norme au niveau mental. (XD)Village souhaité : Da world is my Playground !  Nindô : toujours rester libre autant physiquement que mentalement ^_^ Histoire :Je n'ai jamais connu le début de ma vie. Comme tout à chacun, me direz vous, mais non, pas comme tout à chacun. Je ne suis pas né, je n'ai jamais eut de parents, je n'ai jamais été relié à quiconque par un cordon. Celui qui part la suite fut pour moi comme un grand-père me dit que j'étais apparut un matin, en même temps que l'immense orbe enflammé, commençant sa longue ascension en vue de conquérir les cieux. Il m'avait du moins trouvé par chance, au cours d'une matinée, dans une prairie dont le vert semblait tout engloutir, excepté le bleu du ciel. Parait-il que j'étais allongé, en position foetal même, mais que je ne pleurait pas, contrairement à tout nouveau-né qui serait venu au monde dans la journée. Un autre détail me démarquait dès un si jeune âge des autre : j'avais les yeux grand ouvert. Sen'tetsu (vieux sage), car c'est ainsi qu'il eut toujours voulu que je l'appelle, m'a décrit un nombre incalculable de fois la magnificence de mes yeux marron, mais je ne m'en suis jamais lassé. Je me plaisais à l'écouter narrer avec sa voix grave et douce le récit de ma découverte qu'il embellissait de tant d'adjectif, toujours différents de la fois précédente. Il avait un phrasé si léger ! Et il raconter l'histoire de telle façon que l'on pouvait parfaitement se décrire la scène, l'ambiance, les personnages, et c'est sûrement là tout ce que l'on demande à un récit. Voilà la façon que j'ai retenu comme la plus belle :
" L'on était en un matin printanier plutôt ensoleillé. L'immense orbe enflammé rayonnait de toute sa splendeur sur cette terre. Les fins faisceaux dorés parvenaient au sol en perçant de pars en pars les légères volutes blanches qui jonchaient le bleu uniforme et infini des cieux. Ils se reflétaient dans les milliers de minuscules perles d'eau qu'avait déposé sur les innombrables brins d'herbe verts la douce rosée matinale. Comme pour accompagner ce magnifique paysage et pour relayer la froideur de la nuit, une très légère brise soufflait sur les plaines verdoyantes, et allait s'engouffrer entre les arbres de la forêt un peu plus loin de là, émettant un bruit que l'on aurait pu prendre pour la respiration de mère nature elle-même. Pour combler le tout déjà si parfait, les doux arômes qui s'échappaient des fleurs parvenaient jusqu'aux museaux de tous les animaux se trouvant dans ces étendues vertes, et les oiseaux, sûrement enjoués de toutes ces belles choses, chantonnaient joyeusement, apportant leur touche musicale à la nature, et virevoltaient gracieusement à quelques mètres au-dessus du sol. Ce paysage avait tout d'un paysage utopique, vois-tu de quoi je parle Tazuki ? Je marchait donc entouré de ce paradis, perdu dans mes songes que berçaient les chants de mère nature, que je te vis. Tu avait l'apparence de tout nouveau-né, mais tu ne pleurais pas, tu étais d'un calme étonnant, et tu semblais toiser les nuages sans être gêné, comme tout être humain l'aurait été, par la clarté du ciel. Effectivement, aucun froncement de sourcil ne venait perturber la pureté de ton visage. Tes yeux étaient fixés sur le ciel, et le ciel entier s'y reflétait. Je regardai tes yeux, et plongeai dans un voyage aussi profond qu'inattendu. Je du paraître idiot, immobile devant le corps nu d'un enfant qui devait sûrement avoir froid, allongé sur les brins d'herbes, sans rien faire. Mais j'étais englouti dans le marron de tes yeux, et j'eus plus de mal à m'y extraire que d'y entrer. Il avait la couleur de la plus parfaite des noisettes, et je ne saurais mieux les décrire avec de simple mots, seul l'émotion qu'il dégage peuvent nous montrer ô combien ils sont magnifiques. Enfin tiré de ton emprise involontaire, je restai éberlué pendant une nouvelle poignée de seconde. Puis, enfin tiré de mon étonnement, je pus te prendre dans mes bras, doucement, pour te recouvrir d'un châle noir et blanc, celui que tu porte aujourd'hui autour du cou. Je rentrai alors chez moi, moi qui n'avait jamais eut d'enfant, et qui n'avait que rarement côtoyer les humains, avec un petit garçon dont je devais m'occuper. Je ne voulais pas t'abandonner à la bêtise humaine, celle que j'avais réussi à surpasser, car tu avais cette lueur si intense qui brillait au fond de tes yeux marrons. Voilà comment je t'ai trouvé, ou comment tu m'as trouvé, tout dépends du point de vue. "
Je sais que sans lui, je n'aurais jamais pu être libre, et je l'en ai maintes fois remercié. Il sait trop bien resté modeste, comme le sage qu'il est. Effectivement, on peut difficilement imaginer quelqu'un de plus " sage ". Il regroupe toute les qualités du vieux le plus parfait du monde, autant au niveau physique que mental. Son visage, serti des plus élégantes des rides, est habillé de sourcil gris et plutôt long, tout comme sa cheveulure et sa longue barbe. Il est en permanence vêtu d'une toge blanche. Le timbre de sa voix ne pourrait être plus rassurant et protecteur, grave et doux. Aussi frêle et vieux soit-il, il n'en impose pas moins pour autant. Son charisme se ressent rien qu'à sa vue. Il n'a jamais tort, et saura éclairer de part ses bienveillantes paroles toute personne perdu dans l'obscurité. Je ne sais pas et ne saurais jamais depuis combien de temps il vit, car lui-même ne s'en rappelle plus.
Après ma naissance, dès que je pus parler et écrire, donc vers l'âge de 5 ans plus précisément, il m'enseigna au ninjutsu, et ce fut le première art ninja que j'apprenais. Il m'appris certains techniques de bases, les plus utiles, puis à contrôler mon affinité principale, le doton, en m'apprenant quelques techniques de cette affinité. Dans la même année, il me mit entre les mains un rouleau. Ce rouleau était un rouleau de pacte d'invocation. Il permettait d'invoquer des armes. Toutes les armes que l'on invoquait grâce à ce rouleau avait une âme et une pensée, et pouvaient communiquer avec l'invocateur par la pensée. A l'époque, cela me parut drôle mais pas incroyable. Il me sectionna le bout de l'index et m'appris à écrire mon nom. Alors que je venais d'apprendre le ninjutsu, je réalisait ma première invocation. C'était un sabre, qui, grâce au lois de ce pacte d'invocation, resterais à mes côtés toutes ma vie, il serait une partie de moi, de mon âme. Voilà ce que m'expliqua le vieux. Les armes que j'invoquerais par la suite ne serait que provisoires, et retourneraient dans l'autre dimension dès que j'eus fini de les utiliser. Mais pas ce sabre, Fuuhen'jiyuu (liberté éternelle), lui me suivrait le long du chemin de ma vie. J'appris vite à le connaître, sous l'oeil amusé de Sen'tetsu. Quand j'eus atteint mon dixième été, je maîtrisais mon sabre et mon affinité principal, le doton, à la perfection. J'étais, sans le savoir, un ninja de génie comme ceux que l'on peut compter sur les doigts d'une mains vivant dans ce monde. Le vieux eut préféré garder ça secret, pour ne pas que je prenne la grosse tête, me dit-il plus tard.
A partir de mes dix ans donc, il commença à m'enseigner deux autres arts : le taijutsu et mon affinité secondaire, le katon. Je n'avait aucune disposition au genjutsu, et ça m'était égale, je n'avais jamais été intéressé par cette art. Cependant, le taijutsu suscita chez moi un très grand enthousiasme. Arrivé à mon douzième été, je maitrisais à la perfection les bases du taijutsu ainsi que quelque technique, et je me débrouillais plutôt bien en katon. C'est à partir de cette année que Sen'tetsu jugea bon de m'enseigner sa sagesse. Il m'appris tout son savoir, toute son idéologie, toute sa philosophie. Et moi, j'écoutais, littéralement fasciné par tout ce qui sortait de sa bouche. Je ne comprenais pas certaines choses, mais j'étais certains de les comprendre plus tard, alors j'écoutais, et je retenais. Mon enseignement psycologique dura deux ans. Ensuite, pendant plusieurs mois, n'ayant plus rien à m'apprendre, il m'apprit la chose la plus inutile de toute celle qu'il m'avait appris : jouer de la guitare. " La musique est quelque chose de magnifique ", me répétait-il souvent. Ca aussi, je parvint à le maitriser parfaitement. Bien que j'en doutais, il me répétait que cela me serait utile, de savoir jouer de la guitare. Et c'est près de mes quinze ans que Sen'tetsu m'avoua qu'il n'avait plus rien à apprendre, et que je devrais apprendre le reste, et même corriger ses propres idées par moi-même. Il était effectivement temps pour moi de découvrir le monde, et de quitter le petite cabane au milieu de la prairie où nous vivions et où il m'avait trouvé, loin de toute humanité. Je ne sus le remercier par des mots, je restai donc agenouillé, mains et front au sol pendant je-ne-sais combien de temps, sûrement des heures. C'est après un dernier et banal repas, peut-être un peu plus copieux que les autres, que je quittai ce qui avait été pour moi le foyer familial, et aussi le vieux. J'eus du mal à ne pas pleurer, mais le vieux m'avait appris à vivre sans regret, et ne jamais être triste ni en colère contre personne, pas même moi-même.
Je partis sans me retourner, guitare au dos, sabre à la ceinture, quéfié au cou, sans savoir si Sen'tetsu me regardait m'épanouir, bien que j'en fus convaincu, je sentais bien son regard protecteur posé sur ma nuque. Ses yeux me guiderait à jamais ... d'ailleurs, ses yeux, n'étaient-ils pas marrons ? Si, je crois, comme les miens, un marron noisette ... | |
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